L'amour n'est pas un sentiment, c'est une loi cosmique ...
L’amour n’est pas un sentiment, c’est une Loi .
La Loi de l’amour vient directement de Dieu. La Loi de l’amour est à la base des Lois de
l’Univers.
Après cet amour de soi-même, il faut aimer l’autre, l’aimer dans le même sens, en respectant sa
liberté comme la nôtre. Il faut aussi étendre l’amour de l’autre à tous les autres, d’abord l’amour de
notre humanité et en élargissant notre conscience, a toutes les humanités. Cet amour est digne de
l’absolu car sa conscience et sa liberté ne lui permettent pas de laisser entrer du négatif
consciemment.
L’homme, par sa constitution humaine et divine, porte en lui le besoin d’aimer, de donner, d’aider,
d’adorer, de vénérer, de créer, de justice et de sens moral très élevé. Tout cela est naturel chez
l’homme. C’est imprimé dans les cellules nerveuses du cerveau.
Plus l’homme grandit, plus il veut grandir.
Plus le sujet de son enthousiasme s’affermit, plus cet enthousiasme monte.
Plus il connaît le mécanisme spirituel et invisible qui le régit, plus il s’y soumet avec confiance et joie.
L’homme n’est pas fait pour vivre dans la boue. Il n’est pas fait pour vivre enchaîné à de la matière
grossière.
Si l’homme pensait à chaque fois qu’il détruit inutilement un animal ou un végétal, que celui ci est le
fruit d’une longue évolution, si l’homme y pensait, cette pensée arrêterait son bras destructeur.
La pensée est l’instrument de communication par excellence, elle inspire la parole, elle inspire le
geste, elle inspire les sentiments et développe le désir de connaissance.
On peut donc dire que la pensée rejoint, jusqu’à un certain point, la pensée créatrice de Dieu.
L’homme peut donc d’après ce pouvoir de la pensée se transformer et transformer pour ainsi dire le
monde.
On peut dire sans crainte que les pensées négatives font naître les maladies, les troubles psychiques
et intellectuels. On peut dire aussi sans se tromper que les pensées négatives font même naître des
événements, des circonstances dans lesquelles l’homme est entraîné et où il finit par se perdre.
Soyez convaincu que vous possédez la capacité de manipuler les énergies. Pour un résultat parfait
et atteindre son but il est essentiel que j’en sois pleinement convaincu.
Il me faut éviter, donc j’évite, les idées qui pourraient me faire douter de ma capacité de réalisation.
Je n’accepte pas que l’on doute de mes capacités.
Je ne dis rien à personne des projets qui me tiennent fortement à coeur afin de ne pas entraîner
autrui à semer en moi le doute de mes pouvoirs réalisateurs.
La pensée est souveraine, surtout si elle naît dans un cerveau équilibré et dirigé par une conscience
claire et éclairée. Il n’y a rien qui est fait par l’homme qui a de la valeur si ne n’est par sa pensée.
La pensée, surtout si elle est matérialisée par la parole, par un graphique ou par une construction
quelconque, est l’élément créateur par excellence.
Ne pensez pas et ne parlez pas de péché, d’horreur, de chose impardonnable, d’acte irrattrapable,
pensez et parlez d’erreur, mais pas plus.
L’erreur est humaine.
L’enfant le comprend très bien et nous savons le lui expliquer. Nous lui enseignons que cette erreur
est due à son inexpérience, alors nous lui demandons d’expérimenter positivement pour annihiler
cette erreur.
Lorsqu’un acte négatif a été posé remplacez-le immédiatement par un acte positif afin que le négatif
ne vienne pas empoisonner votre organisme.
Si l’enfant n’était jamais traité de manière à le rendre agressif, il serait seulement actif et
constructeur.
Si l’enfant n’avait pas été marqué par un sentiment d’infériorité, il ne serait pas timide, hésitant, mais
seulement réservé et prudent. Il en est ainsi de toute la gamme des sentiments négatifs.
L’homme est fait pour être aimé, sinon il ne souffrirait pas autant de ne pas l’être. Il ne chercherait
pas, parfois par tous les moyens, à se faire aimer, à se faire accepter par les autres.
L’homme est fait pour être heureux, sinon il ne souffrirait pas autant de
constater que ses besoins intellectuels, physiques et moraux ne sont pas
comblés.